80% des fleurs coupées – viennent des Pays-Bas, Kenya, Equateur, Colombie,… poussent dans des serres chauffées, nourries de pesticides injectés souvent sans protection par des travailleurs dont la rémunération n’est pas juste, puis les fleurs sont maintenues réfrigérées pour arriver « pimpantes » en France où elles sont manipulées et humées par des humains… = bilan carbone élevé + appauvrissement des sols + destruction des pollinisateurs et de la biodiversité + impact sur la santé de toutes les personnes qui manipulent les fleurs. D’où l’envie de
- participer à la renaissance de la fleur française
- agir pour une agriculture durable
- proposer un acte de consommation écoresponsable
- pour la poésie des fleurs

